Une touffe de Laetiporus sulphureus (Polypore soufré) sur Quercus robur (Chêne pédonculé)… écrin de quelques perles.
vendredi 30 juillet 2010
mercredi 28 juillet 2010
Le chardon lorrain
Le chardon lorrain (Onopordum acanthium), emblématique de la Lorraine depuis René Ier d’Anjou, duc consort de Lorraine et roi de Naples, avec sa devise ajoutée par son petit-fils, René II de Lorraine : "Ne toquès mi, je poins" devenue "Qui s'y frotte s'y pique" !
vendredi 23 juillet 2010
Nouvelles espèces dans le Monde de Lupa
Quatre nouvelles espèces ont récemment rejoint le Monde de Lupa :
Trifolium medium (Trèfle intermédiaire) ; Hypericum hirsutum (Millepertuis hérissé) ; Phytolacca esculenta (Phytolaque d’Orient), espèce importée en France vers 1700 pour ses fruits utilisés comme colorant alimentaire et ses feuilles autrefois consommées comme légume et dont la présence subspontanée en Lorraine n’a été que très rarement décrite ; Ocimum basilicum (Basilic), pour ses propriétés médicinales.
De nombreuses autres nouvelles espèces intégreront les sites dans les prochains mois, au fur et à mesure de l'exploitation de leurs photos.
Trifolium medium (Trèfle intermédiaire) ; Hypericum hirsutum (Millepertuis hérissé) ; Phytolacca esculenta (Phytolaque d’Orient), espèce importée en France vers 1700 pour ses fruits utilisés comme colorant alimentaire et ses feuilles autrefois consommées comme légume et dont la présence subspontanée en Lorraine n’a été que très rarement décrite ; Ocimum basilicum (Basilic), pour ses propriétés médicinales.
De nombreuses autres nouvelles espèces intégreront les sites dans les prochains mois, au fur et à mesure de l'exploitation de leurs photos.
Phytolacca esculenta
mercredi 21 juillet 2010
Attention POISON !
L’Actée en épis, Actaea spicata, commence à fructifier. C’est une herbacée basse (30 à 60 cm) des forêts humides sur sols calcaires, assez rare en Lorraine mais présente dans ses 4 départements.
Ses feuilles sont composées de 3 à 5 folioles ovales profondément dentées, ses fleurs sont blanchâtres mais ce sont principalement ses baies, ovales, noires et réunies en grappe qui sont toxiques. Leur ingestion provoque des troubles digestifs accompagnés de céphalées, de vertiges et parfois de troubles cardiaques avec hypotension et risque de collapsus.
Ses feuilles sont composées de 3 à 5 folioles ovales profondément dentées, ses fleurs sont blanchâtres mais ce sont principalement ses baies, ovales, noires et réunies en grappe qui sont toxiques. Leur ingestion provoque des troubles digestifs accompagnés de céphalées, de vertiges et parfois de troubles cardiaques avec hypotension et risque de collapsus.
dimanche 18 juillet 2010
Une journée ornithologique au bord de la mer
Avertissement de coups de vent en vigueur…
Haematopus ostralegus (Huîtrier-pie)
J’y vais ou pas ?Haematopus ostralegus (Huîtrier-pie)
Phalacrocorax aristotelis (Cormoran huppé) Marée à 102, 7 Beaufort, grand-frais, grosse mer… à l’abri du port
Tadorna tadorna (Tadorne de Belon)
Retour au calme, j’y vais !
Larus argentatus (Goéland argenté)
La mer ouvre l’appétit…
Riparia riparia (Hirondelle de rivage)
vendredi 2 juillet 2010
Quelques plantes messicoles
Comme leur qualificatif l’indique, les plantes messicoles (du latin messis, moisson et colere, habiter) sont des plantes qui poussent dans les moissons. Souvent originaires du Moyen-Orient et sans doute introduites en Europe avec les plantes que nous cultivons, notamment les céréales, elles existent dans nos champs depuis des siècles.
Considérées comme des « mauvaises herbes » dans les cultures, les plantes messicoles ont fortement régressé au cours des dernières décennies, principalement en raison de l’utilisation intensive des herbicides, à tel point que certaines d’entre elles sont aujourd’hui menacées de disparition.
Depuis quelques saisons, on constate néanmoins en Lorraine la réapparition de quelques coquelicots, bleuets ou autres pensées dans certaines parcelles cultivées. Faut-il percevoir là un renouveau des plantes messicoles dans nos campagnes ? On ne peut que l’espérer et y voir en tout cas une prise de conscience de la part de certains agriculteurs de leur rôle primordial dans le maintien de la biodiversité.
Considérées comme des « mauvaises herbes » dans les cultures, les plantes messicoles ont fortement régressé au cours des dernières décennies, principalement en raison de l’utilisation intensive des herbicides, à tel point que certaines d’entre elles sont aujourd’hui menacées de disparition.
Depuis quelques saisons, on constate néanmoins en Lorraine la réapparition de quelques coquelicots, bleuets ou autres pensées dans certaines parcelles cultivées. Faut-il percevoir là un renouveau des plantes messicoles dans nos campagnes ? On ne peut que l’espérer et y voir en tout cas une prise de conscience de la part de certains agriculteurs de leur rôle primordial dans le maintien de la biodiversité.
Centaurea cyanus (Bleuet)
Consolida regalis (Dauphinelle consoude)
Gagea villosa (Gagée des champs, protégée au niveau national)
Lithospermum arvense (Grémil des champs)
Papaver rhoeas (Grand coquelicot)
Scandix pecten-veneris (Peigne de Vénus)
Sinapis alba (Moutarde blanche)
Viola arvensis (Pensée des champs)
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